Hier, on a cuisiné un navarin sans gluten, très réussi au demeurant. Mais du coup, qui dit pas de gluten dit pas de couscous, et on a donc fait du millet (par ce que je n’aime pas trop la quinoa). Comme je n’ai pas l’habitude du millet et que c’est moi, j’en ai fais trop, et du coup il en est resté.
Aujourd’hui, j’ai donc cuisiné le reste du millet (enfin, une partie, j’en ai vraiment cuit trop) en petites galettes, et le résultat a été plus que satisfaisant. Voici la recette, si je n’oublie rien de ce que j’ai, comme à mon habitude, fais comme ça venait ce midi (avec en mémoire les galettes similaires de ma maman qui les fais vachement bien, même si je crois que la chance du débutant me les a fait réussir encore mieux).
Il faut donc :
- Du millet cuit (la veille, avec du sel et un peu de romarin)
- Un œuf (et un blanc qui restait)
- Du sel
- Du poivre
- Un peu d’emmental râpé fin
- L’eau d’une boîte de thon (optionnel, mais parfait si vous avez fait du truc au thon la veille pour aller avec, qui a aussi donné le blanc d’œuf en sus, mayonnaise oblige)
Mélanger tous les ingrédients dans un saladier. Faire chauffer une poêle bien huilée (à l’huile d’olive). Quand l’huile est chaude, y placer des boules du mélange au millet, les aplatir pour avoir des galettes d’environ 1 cm à 1,5 cm d’épaisseur, et bien les frire des deux côtés. Il faut être généreux avec l’huile pour que la surface contre la poêle puisse légèrement frire, et donc ne pas hésiter à rajouter de l’huile surtout si l’on fait plusieurs fournées de galettes.
Selon l’assaisonnement de la mixture, cela donne des galettes assez neutres pour accompagner un plat, ou des galettes avec plus de caractère. Cette fois elles étaient entre deux, très bonnes seules mais encore mieux pour se joindre à du truc au thon. Simple mais vachement bon.
PS : Oui, la photo d’en-tête est floue… et encore, je l’ai améliorée.